Vendredi 21 décembre
5
21
/12
/Déc
21:26
On le sait, le plaisir de l’homme trouve son acmé dans l’éjaculation. Qu’il la retarde ou non, elle accompagne sa jouissance, et elle peut aussi concourir à celle de sa partenaire parce qu’elle
l’a provoquée, ressentie, ou tout simplement vue… Nous avons déjà traité dans nos colonnes de l’orgasme masculin et de l’éjaculation précoce. Nous ne reviendrons donc pas sur les aspects
mécaniques de la chose, mais sur ses aspects sensuels et érotiques.
Ejaculations ordinaires
Ejaculations originales
Finalement, on peut éjaculer où l’on veut, sur ce que l’on
veut, non ? L’éjaculation sur le visage ou les seins recueille de nombreux suffrages. Sur le visage, en une espèce d’éclaboussure dominatrice (conseil, même si c’est évident : mesdames,
fermez les yeux !), ou sur les seins ou la gorge, que ce soit par l’effet d’une branlette ou d’une cravate de notaire.
Mais il y a d’autres manières et endroits pour jouir, plus
originaux : les cheveux, par exemple. Ne croyons pas que cela ne soit qu’une demande masculine, il y a des femmes qui adorent. Il faut simplement se laver ou se rincer les cheveux avant
que le sperme ne sèche. Les pieds ne sont pas en reste.
Que ce soit le résultat d’une branlette effectuée par les pieds joints, ou que l’homme se masturbe lui–même au-dessus d’eux.
Sachons que des hommes aiment à éjaculer dans la main de la
femme, paume ouverte, tout simplement. Tout de suite après l’éjaculation, il n’est pas rare que l’homme apprécie que la partenaire lèche ce sperme ainsi déposé sur la main, à moins
qu’il ne s’en charge lui-même. Autre éjaculation appréciée par certains : sur le sol (le carrelage d’une cuisine ou d’une salle de bain est indiqué, la moquette beaucoup moins…) Ils
aiment en effet, souvent branlés par leur femme ou s’en chargeant eux-mêmes, gicler « de haut », et contempler ce spectacle. C’est d’ailleurs aussi un plaisir demandé par la femme, car
très visuel, quand il n’est pas inclus dans des petits jeux de domination. Enfin (rappel) l’éjaculation « prostatique », due à une titillation de la prostate par un doigt ou un gode,
sans même une excitation directe sur le pénis, a d’autant plus d’adeptes que ses effets sont différents de l’éjaculation pénienne. Plus longs, et à la fois plus forts et plus diffus. On
peut aussi éjaculer par la pression pénienne et mixer avec la titillation prostatique lors de la montée de l’orgasme. Quelques fétichistes peuvent éjaculer dans une chaussure, ou sur
des bas - voire sur des culottes dont ils ont enserré leur pénis. Concernant le fétichisme et ses rapports avec l’éjaculation, les « fétiches » sont si nombreux que la liste serait trop
longue. L’éjaculation dans un verre est par exemple appréciée, illustrant de manière imprévue la phrase de Musset : « Qu’importe le flacon… » Donc, enivrez-vous comme vous
l’entendez.
Par glamour
-
Publié dans : divers
0
Vendredi 21 décembre
5
21
/12
/Déc
21:18
On a vu dans nos articles (et, sans même nous lire, on sait par
expérience) comment on pratique la fellation : la technique buccale est une chose, certes fondamentale dans cet exercice, mais que fait-on du ou des corps ? Quelles sont les positions
possibles, agréables pour l’un ou l’autre, suceuse ou sucé ? Existe-il des positions plus excentriques, voire improbables ? Réponses.
La femme à genoux est la position la plus classique, en tout cas préférée
par nombre d’hommes qui aiment bien dominer la situation. L’homme peut être debout devant la femme, ou à genoux lui-même (la femme se penchant), voire allongé sur le dos. Dominant encore mieux
la dite situation, l’homme apprécie également la femme à quatre pattes, tandis qu’il se place lui-même à genoux, à moins qu’il soit debout et la femme à quatre pattes sur un lit. Une variante
consiste pour la femme à se mettre à plat ventre, et simplement à lever la tête, ce qui est beaucoup plus confortable pour elle si l’homme est allongé.
Photos © nouvelles tentations
© no
La femme assise peut effectuer une fellation sur l’homme debout
devant elle, sauf si celui-ci se place plus haut, jambes de chaque côté du torse de la femme, en montant sur le lit ou un canapé.
La femme sur le dos trouve de nombreux adeptes. Soit la femme tourne
la tête sur le côté, et l’homme a mis son sexe à hauteur de la bouche qui va officier, soit la femme a carrément la tête à l’envers (pendant en dehors du lit, par exemple), ce qui permet
l’irrumation ou la gorge profonde (et le « gagging », voir notre article :
Fellation - la gorge
profonde). Enfin, n’oublions pas que la femme peut être debout, penchée en avant jusqu’au sexe masculin. Position excentrique sinon improbable, la femme peut soulever l’homme et
le sucer ainsi, amenant le sexe jusqu’à son visage. C’est en général réservé aux femmes grandes et musclées qui ont un partenaire de taille et de poids modestes…
Photos © nouvelles tentationsuvellestentations.com
Par glamour
-
Publié dans : divers
0
Vendredi 21 décembre
5
21
/12
/Déc
21:16
On nous a demandé quel était l’intérêt, autre que « décoratif »,
de porter des bijoux d’anus, ou rosebuds. Réponse : l’intérêt est multiple. D’abord, chez la femme, le bijou d’anus est non seulement décoratif mais aussi carrément esthétique, surtout quand la
femme est en position de levrette. Le spectacle est alors hautement érotisant.
Mais le plaisir du rosebud devient physique quand l’homme
pénètre la femme et que les deux orifices de celle-ci étant pris, le plaisir qu’elle goûte en est décuplé. Celui de l’homme aussi, puisqu’il sent au travers de la fine membrane le poids du
bijou… Certaines femmes, sensibles de la zone anale, aiment aussi la sensation du froid – vite annihilée- et la perception, si elles gardent l’objet longtemps, du rosebud en elles. Les hommes
peuvent aussi porter un bijou d’anus pour leur plaisir, que ce soit dans l’intimité ou à l’extérieur, car il peut, s’il est de bonne taille, leur titiller la prostate. Dans les jeux de
domination soumission, les rosebuds ont une place de choix, qu’ils soient pris comme signe d’appartenance ou qu’ils soient faits exprès pour certains manèges : ainsi, le « rosebud queue de
cheval » est tout indiqué pour l’animalisation. Tout rosebud portant un anneau permet d’y ajouter une chaîne et de perfectionner les figures du soumis ou de la soumise à quatre pattes, par
exemple. Donc, plaisirs multiples garantis…
Photos © nouvelles tentations
Par glamour
-
Publié dans : divers
0
Vendredi 21 décembre
5
21
/12
/Déc
21:15
Le téton, ou bout de sein, mérite en soi qu'on s'y arrête. En effet, il est rare, même si cela existe, que les femmes (et les hommes) soient insensibles aux caresses prodiguées à cette
extrémité du mamelon. Du coup, les jeux avec les tétons sont multiples et variés.
Sucer, mordre et
pincer...
La bouche s'y colle avec bonheur, et, passant du gauche au droit, s'applique à les ériger. Passons sur le plaisir parfois régressif du suceur : c'est la satisfaction de la personne sucée qui
nous importe. L'érection des mamelons, comme d'autres érections, est la preuve de la jouissance que procure toute caresse sur cette parcelle de chair fortement innervée.
L'inconvénient pour le suceur est que, comme tout le monde, il n'a qu'une bouche : le sein délaissé par les lèvres suceuses doit donc être entrepris par une main laissée libre.
Certaines femmes aiment les douces morsures, et l'étirement du téton entre les dents. On peut aussi pincer ou tourner entre les doigts. N"oubliez donc jamais les tétons, attardez-vous
longuement sur eux, c'est un préliminaire qui porte très souvent ses fruits.
Photos © nouvelles tentations
Par glamour
-
Publié dans : divers
0
Vendredi 21 décembre
5
21
/12
/Déc
21:11
Etrange titre, n’est-ce pas, si l’on considère que la fellation
est en soi un préliminaire. Assurément. Mais, dans la technique de la « pipe », on peut considérer que se précipiter de but en blanc sur le sexe sans aucune caresse ou fantaisie antérieure est
une faute. On sait que l’attente est un moment extrêmement fort, surtout l’attente d’un plaisir promis.
Différer l’exécution devient alors un jeu en lui-même, et
l’assurance que le désir du partenaire sera à son comble lorsque la bouche engloutira enfin le sexe roide. Certains hommes regrettent que leur partenaire se précipitent sur leur attribut viril
sans autre forme de procès (même si c’est parfois envisageable). L’idée est simple : il ne faut pas pomper de but en blanc, donc tourner autour de l’objet désiré.
Le meilleur début est de caresser ou d’embrasser le ventre, puis
le bas-ventre, extrêmement sensibles. Puis, descendre. Le moment tant attendu (par l’homme) est-il arrivé ? Que non. Négligeant toujours l’objet, qui peut être cependant caressé ou branlé
doucement, la bouche va descendre le long les cuisses, voire des mollets, et s’attarder sur quelques endroits comme l’intérieur des genoux, fort réceptifs, et l’intérieur des cuisses. Il n’est
pas interdit non plus à la femme de jouer avec ses seins, surtout par un frôlement des tétons sur la peau. Enfin, la bouche peut remonter entre les jambes, lécher les testicules, les embrasser,
continuer par de petits baisers le long de la hampe, fort excitants et agaçants. De bas en haut sur le membre, puis de haut en bas – en une dernière fausse alerte. Enfin, la bouche donne ce que
l’homme attendait de plus en plus impatiemment. Elle englobe le sexe (peut-être après des petits baisers sur le gland ?) pour une fellation qui ne peut être qu’une totale réussite.
Photos © nouvelles tentations
Par glamour
-
Publié dans : divers
0