Mardi 29 janvier
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Certains hommes aiment (ou rêvent de) manger sur le corps d’une femme. Certaines femmes ont ce même fantasme, ou le fantasme inverse. Sachez que cela peut très bien se pratiquer, surtout si
l’on est Japonais. Nos amis nippons s’y connaissent en matière d’érotisme, qu’ils ritualisent à merveille. Le Nyotaimori (on mange sur une femme), ou son contraire, le Nantaimori (on mange sur
un homme) se pratiquent lors de réceptions privées ou dans quelques restaurants de sushi (body sushi). Si la personne allongée est une figurante
rémunérée par un établissement, nul n’a le droit de la toucher elle-même, voire de lui
parler. Si le repas est privé, tout dépend de la nature de la soirée et des désirs des participants…
Parfois même, dans des restaurants, un film de plastique est posé entre les aliments et la
peau. Dans le cas de repas de sushis, ceux-ci devant être consommés très frais, la personne allongée se rafraîchit au préalable en se
douchant ou s’aspergeant d’eau froide. Le milliardaire sud africain Kenny Kunene avait
fait une soirée de lancement d’une boîte de nuit en organisant un grand « body sushi », ce qui avait fait scandale. De nombreuses soirées privées échangistes ou sadomasochistes pratiquent aussi
bien le Nyotaimori ou le Nantaimori (spécialement homosexuel)– même si nous sortons ici du rituel japonais : en effet, la femme ou l’homme allongé sont ficelés ou entravés, et tout type de
nourriture peut être placé sur leur corps. Quant aux contacts sexuels, ils ne sont plus interdits, mais recommandés. Et la boisson, nous direz-vous ? Elle n’est pas oubliée : le Wakamesake est
une technique d’une simplicité enfantine qui permet de boire sur quelqu’un. La personne allongée serre les jambes, et l’on verse champagne, saké, ou ce que l’on voudra, entre ses jambes. On
peut lécher, aspirer, laper, ou boire avec une paille. Pour le petit dernier avant la route, le nombril suffit parfois. Bon appétit, ou… bons jeux !
Photos DR
© nouvellestentations.com
Par glamour
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